La confiance en soi, voici la qualité première pour faire évoluer votre carrière. Si vous croyez en vous, si vous êtes capable de vous visualiser dans une fonction précise, d’ici quelques années, vous avez, en effet, plus de chances de toucher au but …
Comment booster votre confiance en vous ?
1. Fixez-vous de petits défis quotidiens.
Comme vous ne l’ignorez point, la confiance en soi n’est qu’une vue de l’esprit, une manière de se considérer et d’apprécier son potentiel. Cela s’apprend, cela se travaille. C’est « dans la tête », parfaitement mental, intellectuel. Commencez donc par oser vous affronter, histoire de retrouver l’estime de soi, qui est à la base de la confiance en soi. Faites cette petite chose que vous n’avez pas l’habitude de faire et qui vous revalorisera à vos propres yeux. Par exemple, pourquoi ne pas essayer de parler avec ce collègue de bureau qui vous intimide tant, ou de passer un coup de fil pour avoir plus d’informations quant à ce job qui vous fait rêver, depuis un bon moment ?
2. Valorisez et améliorez vos points forts.
Oui, entraînez-vous à valoriser et améliorer vos points forts, au lieu de chercher, en continu, à faire oublier vos points faibles, à cacher vos lacunes, à faire disparaître vos défauts. Nul n’est parfait, et miser sur ses capacités est bien plus rentable que de tenter, en permanence, de diminuer ses incompétences. Car tout le monde en a. Car on apprend à les gérer et à faire balancer l’équilibre de l’autre côté. C’est ici d’une question d’équilibrage naturel, qui se fait –encore !- grâce à la fameuse « confiance en soi ». Soulignez, ainsi, vos dons, qualités, aptitudes, compétences, savoir-faire, sans pour autant vous surestimer. L’arrogance n’est pas un atout, loin s’en faut !
C’est l’évaluation objective qui fait la force. Acceptez, dans le même temps, vos points faibles et c’est en les admettant, en les comprenant, en les acceptant, en les intégrant, que vous serez en mesure de les dépasser, voire même de les gommer quelque peu.
Si vous avez du mal à vous regarder avec justesse et justice, priez un ami ou un proche de dresser une liste de vos points positifs. Oubliez les autres et pensez, ensuite, à la manière dont vous pourrez les réinvestir dans le cadre professionnel.
Vous sortirez un peu plus serein de cette réflexion, et cette quiétude intérieure se ressentira dans tout ce que vous déciderez de réaliser.
3. Votre corps vous trahit.
Sachez (mais vous le savez, sans doute, depuis longtemps) que votre corps s’exprime pour vous et qu’il dévoile, à votre insu, une partie de votre personnalité. Votre démarche, votre port de tête, la manière de tenir vos épaules, votre dos, ce que vous faites de vos mains, votre attitude et allure, votre sourire … Tout vous démasque. Prêtez-y attention.
Si vous semblez morose ou trop silencieux, on pensera que vous êtes un individu difficile d’accès, que vous êtes peu sûr de vous et peu agréable, peut-être, à approcher.
Exercez-vous chez vous. Encore une fois, interrogez vos proches sur vos manières de vous tenir et de vous comporter physiquement, face aux autres.
Songez également que le sourire a des vertus presque magiques, qu’il vous fera paraître immédiatement plus sympathique, ouvert et accessible. Il ne s’agit nullement de sourire béatement ou niaisement, encore moins de rejouer une publicité pour dentifrice blanchissant, mais de savoir montrer votre plaisir ou votre joie, votre reconnaissance ou votre satisfaction.
4. Sachez écouter.
La communication est toujours à double sens, qu’il s’agisse d’un entretien d’embauche ou d’une réunion basique et hebdomadaire. Habituez-vous à ne pas parler au hasard, à intervenir quand cela est nécessaire et n’interrompez pas votre interlocuteur. Prenez le temps de bien écouter, de réfléchir et de répondre en atteignant l’objectif. Lent, parfois mais judicieux chaque fois ….
Parler, écouter, intervenir, savoir placer sa voix et repenser son discours, là est l’art de la communication.
Suivez-Nous sur la Page Facebook, Linkedin et Google News pour consulter toutes les dernières offres d’emploi.